Jusqu’ à la démolition de la dernière prison

Jusqu’ à la démolition de la dernière prison.

Dans un climat général de la suppression de tension, l’état met en avant, sur un projet de loi, la restructuration de prison et l’application de nouvelles conditions de détention spéciaux. La création d’une prison de sécurité maximale provoque l’établissement de la séparation aux trois types de prison, A, B, C. Spécifiquement, les prisons de type C seront utilisées, jusqu’ici, ceux qui sont condamnés et accusés par la loi d’anti-terrorisme, les personnes reconnues coupables d’association de malfaiteurs, et les prisonniers seraient impliqués ou incitent des insurrections dans la prison. Leur transport vers les prisons de type C sera toujours après la demande du procureur et la peine minimale qu’ils survireront est de 10 ans. Les conditions qui règnent dans ces prisons seront plus difficiles, y compris le retrait des autorisations, la restriction des visites et la réduction des sorties de la cellule à 1 heure par jour, qui assure l’isolement du prisonnier 23 heures dans la cellule de 24 heures. Une caractéristique supplémentaire du nouveau type est la récompense de ceux qui révèlent des secrets des autres détenus pour réduire ou pénalité de remboursement.

Le but de ce système dans la prison est la punition des prisonniers dans un niveau collectif et individuel. En ce qui concerne le sélectif, les  communautés configurés et qui sont destinés à rupture radicale avec l’institution de la prison, sont catalysés. Et de cette manière, toute possibilité de soulèvement est écrasée. L’apathie ainsi est établie et l’inactivation de prisonniers aussi, par la suppression du sens collectif. Les liens qui se sont développés parmi les prisonniers, sont  détruits et les prisonniers sont aliénés les uns des autres. Sure l’isolement dure les prisonniers n’ont pas la possibilité de socialisation et la punition prend la forme la plus brutale.

Les prisons promurent  de la barbarie au sein des cellules, mais aussi elles sont très influentes à la société extérieure. En outre, comme “le stockage des déchets” de la société, les prisons sont étroitement liées avec elle et elles montrent comment profondément problématique elle a devenu. Donc il est évident que toute restructuration visant la répression accrue dans la prison a un impact inévitable dans la société. D’abord, il crée un faux sentiment de sécurité et la cause d’inactivation de la communauté en général et d’autres de semer la terreur dans les parties les plus radicaux de la société. L’intimidation au ciblée ceux qui se rebellent contre le système en cherchant à écraser leur moral et d’endommager toute psychologie de résistance. L’Etat avec cet amendement vise à faire un exemple et de terroriser, en manipulant  l’opinion publique et présentant les anarchistes comme la menace la plus dangereuse.

L’encapsulation n’est pas un phénomène moderne et elle ne s’applique pas seulement aux humains. Et si l’inclusion des animaux humains vise à punir et “discipliner”, les aspects de l’inclusion des autres animaux est plus dures et plus morbides. Les animaux- non humains sont emprisonnés et torturés pour le bien de la science, du progrès et de la médecine. Ils sont utilisés comme cobayes pour le bien-être de l’humanité et ils sont assassinés en millions pour les essais de produits qui enrichissent le chapitre. L’industrie pharmaceutique, les grands centres scientifiques et l’ensemble de la médecine occidentale ont été construits sur l’exploitation des animaux et les humains et ils créent des fausses maladies qu’ils ensuite guérissent  avec les derniers médicaments / panacées.

En outre, la reproduction et l’inclusion des animaux non humains fournissent la source alimentaire de base de l’humanité sous le capitalisme et ils sont aussi un facteur de gain supplémentaire. Les milliers industries d’exploitation pour la viande, le lait et d’autres produits dérivés sont des prisons d’animaux modernes. L’encapsulation fournisse  vies jetables à l’industrie du spectacle, du divertissement et de la mode. Les cirques avec des animaux est une institution brutale qui les emprisonne loin des milliers de kilomètres de leur environnement naturel et ils les enseignent des artifices de standards de force pour la joie des téléspectateurs de merde. Le spectacle pour l’homme moderne joue un  grand rôle et celui étant limité aux liens de la ville, il visite les zoos pour répondre à la faune, mais il est ignorant que c’est encore une autre prison. Enfin, en ce qui concerne la mode, des millions d’animaux sont emprisonnés et brutalement assassinés pour l’utilisation de leur fourrure et de leur peau par les gens. Cette utilisation par eux  reflet leur insatiable vanité et les façons de montrer leur autorité, et dans ce cas en portant des carcasses d’animaux.

Comme anarchistes, on ne sépare pas n’importe quel type de boîtier, nous reconnaissons la relation de la souveraineté et l’autorité et nous exclurons  toutes ses formes de communautés libres, lesquels on lut  de construire sur les cendres de l’ancien monde. Notre discours et nos actions sont contre toute forme de pouvoir, de l’exploitation  et de  l’application, e est pourquoi notre guerre ne se termine pas jusqu’ à la destruction de chaque cage / cellule.

 

Prisons de sécurité maximale jamais et nulle part, le feu sur toutes les cages!

Lutte tenace pour Total Libération et Anarchie!

Collectivisme anarchiste : Noir / Vert
Thessaloniki Avril 2014